15: Quelques notes et événements

 

 

                           Quelques notes et évènements :

 

 

 

1925 :  la superficie de Longages  2.094 hectares.

 Hameaux Castex, Tourné, Campariol .

Maire : Billères Guillaume.

Curé : Cuxac.

Ecole : Institutrice Mademoiselle Claverie,  Instituteur Monsieur Turines .

Garde champêtre : afficheur,  Monsieur Laffitte Jean.

 

1929 : Demande auprès de Monseigneur l’archevêque afin d’obtenir un desservant pour une rémunération pécuniaire de 15000frs et 300 frs pour le gardiennage de l’église.

 

1930 : Le 10 Janvier, signature du bail de la poste à l’ancien presbytère, demande de renouvellement pour 10 ans 350 francs, les réparations à la charge de la commune.

 

1930 : Monsieur Barest demande de faire émonder les platanes au jardin du Capdebat .

 

1930 : demande d’une cantine scolaire. Le salaire de Monsieur Dupuy  cantonnier 1000frs, pour la personne chargée du balayage des écoles 70 frs

 

1934 : Séance du conseil municipal :voilà comment la halle aurait dû s’appeler :

 

 

La halle en 1908

 

 

24020161 2001271376755939 871676520 n

 

Sarrans gustave

Sarrans Gustave : 1817/1902

 

 

 

 

1945 :

 

Rémunération du coiffeur,

Monsieur M L a été chargé de procéder à la taille des cheveux des prisonniers allemands,

« utilisés à des travaux d’intérêts publics. »

Pour la période du 1e Novembre 1945 au 31 Mai 1947, la somme de 3060 frs.

 

1947 : Commission des fêtes  de Longages :

Soula Louis -Lacanal Théodore- Lallier Louis.

 

Commission  de la jeunesse et des sports :

Cassagne Roger-Lallier Louis- Marrast Jean.

 

Commission  des travaux :

 Marrast Jean- Bécas Raymond- Alibert Raymond.

 

Commission des chemins ruraux :

 Cassagne Roger- Lacanal Théodore – Daressy Jean – Estrade Jean- Marie -

 

Commission  assistance :

Bécas Raymond –Doméjan Pierre- 

 

Commission des finances :

Doméjan  Pierre-Bécas Raymond-Marrast Jean.

 

 

  1720 : Table des noms des Emphytéotes de Longages.

 

 

Anouil Barthélemy : « tisserand » 54a de vignes,14a de terres.

BarrichonJean : « brassier » 14a de vignes,14a de terres.

Barada jean : « laboureur » 2a de vignes.

Millat Jammes : 36a de vignes ,28a de terres.

Cazedebat Jean : « chirurgien »  (les héritiers).

Delhom Jean : « brassier ».

Gaubert Dominique : « brassier ».

Gaures Jeanne.

Miègemolle(les héritiers)

Lafitte Jean : « cordonnier ».

Rives Servant.

Pech Guillaume : « laboureur ».

Supéry Raymond.

Rigail Jecques : « boulanger ».

Lahille Jean : «  boucher ».

 

 

 

Les censives, reconnaissances,Emphytéotes :

 

 

Il n’y a pas de documents qui nous apprennent

en quel temps les habitants de Longages passèrent de l’état de

 « serf de la glèbe »

qui fut certainement leur condition originelle,

à l’état de censitaire ni comment ils formèrent une communauté.

Cependant c’est vers la fin du XIIIe siècle qu’un ordre nouveau refait la vieille société.

Dans les campagnes c’est l’Emphytéote qui moyennant le paiement à perpétuité,d’une redevance annuelle (censive),

le serf devenu homme libre prend possession d’un fond qu’il peut garder

Comme sien pour toujours « ce modus vivendi »

durera à Longages jusqu’à la révolution.

(La preuve en est dans un registre de 1722 se trouvant

 dans  une bibliothèque privée de Longages)

dont la Somme à payer (cent) par maison et par terre.

La population nombreuse forma vite une communauté

qui s’administrait par des consuls,

leur rôle fut de défendre les intérêts et d’essayer d’amoindrir les droits des féodaux

(qui étaient l’apanage de la Seigneuresse).

Ce fut l’origine de procès interminables que nous jugerions actuellement comme futiles.

Un arrêté du parlement de Toulouse en date du 14 Février 1632,

statuant sur les litiges de bornage du paréage avait confirmé les privilèges accordés 

« aux consuls de Longages  par François 1e  le 10 Août 1526 ».

 

 

Reconnaissance :  

   Acte par lequel «  le vassal » reconnaissait tenir en titre le « fief », un  domaine du seigneur.

 

 

Censive :

 

 Redevance annuelle payable en argent ou en nature au seigneur d’un « fief » par les propriétaires qui en dépendaient.

 

 

 

Emphytéote :

 

 Est celui qui jouit d’un fond par « bail »à très long terme de manière à permettre au

Locataire de construire, d’aménager le terrain et de cueillir le fruit de son travail.

 

 

 

 

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