36:Le bas moyen âge

 

Longages

"Au bas moyen âge".

 

 

La bastide de Longages:

 

S'organise alors que la crise économique

amorcée dés 1290 commence à être terrible.

 

1336: Se sont de très violents orages

qui provoquent des maladies.

 

Ensuite "LA PESTE" de 1347/1348 touche

toute la région.

Mais le moment le plus douloureux arrive 

en octobre 1355 avec le passage du

Le prince noir 1

Prince Noir.

St lys

Venant de Saint-Lys.

Où il a ravagé le Saves.

 

                     Traversant la Garonne à Capens.Capens

Ravageant Montaut Montaut

Noé Noe

Marquefave et Longages

Pont de marquefave   Longages min

 

Un mois n'est pas passé qu'à nouveau

le voici retraversant la Garonne

à Carbonne le 18 novembre.

 

Carbonne 2  Villefranche de lauragais

après avoir dévasté le Lauraguais.

 

L'état des lieux de 1356 donne l'image d'un

pays vidé,les lieux dévastés et sans successions 

sont cédés à d'imprudents et

"encore rares colons".

 

En 1360:

Une bulle d'innocent VI 

Pf 1564352213

désigne le diocèse de Rieux

Carte du diocese derieux

 

"Comme ayant été particulièrement éprouvé".

Cette année là Gaston Phébus

"PILLE"

toute la vallée de la Garonne.

Loonapix 15641407052089731817

Il recommence trois ans plus tard

 

 

En 1360:

Nouvelle épidémie de peste.

Enfin en 1368 un routier et sa bande

"Le bâtard de TERRIDE" 

de son poste de Seysses ravage la contrée.

Seysses

 

Cependant la prieure siège toujours

 au couvent de Longages.

Porte du couvent

En 1380:

Le couvent parait abandonné.

 

En 1382:

Des paysans révoltés les " TUCHINS"

s'en prennent au couvent et aux riches

( signalés à Sajas) ils durent œuvrer

sur Longages.

Sajas

 

En1383:

Nouvelle peste.

 

En 1391:

Un état des lieux donne un constat des ruines.

 

En 1420:

De nouveau une épidémie de peste suivie

d'une disette terrible agravée par les pillages

(commis depuis Seysses)

"Encore!!!"

par le routier espagnol

Rodrige de Villandrado.

 

L'année 1440:

Est catastrophique.

 

Et le dernier mauvais moment du siécle est en:

1457/1458

Le passage du routier écossais

Robin Petit-Lô.

 

Il faut attendre les alentours de 1450

pour le retour à la stabilité.

 

Et les années 1490 pour un repeuplement

efficace et le relèvement du Prieuré.

 

Le paréage.

 

En 1316:

 

Sont posées les premières bases d'un paréage

entre le roi de France et le prieuré des dames

de Fontevrault pour le lieu de Longages.

L'acte est définitivement ratifié le mardi

17 août 1322 par Arnaud de Nogaret

"notaire du royaume" par acte du 

29 mars 1316 "Etienne Albert "

juge à Toulouse,le juge de la 

Sénéchaussée.

Le lieutenant et Sénéchal Aymeric de Carso

procureur de la sénéchaussée,signifiaient

que PHILIPPE V ROI DE FRANCE leur avait

adressé,que le procureur de la prieure de

Longages lui avait exposé qu'il y avait lieu

de faire entre eux un paréage.

 

Pareage min

Copie du paréage.

 

Le procureur du roi Raymond Coste confirme

l'utilité d'une nouvelle bastide.

 

En 1316:

Sont posées les premières bases d'un paréage

entre:

le roy de France et les dames de Fontevrault

pour le lieu de Longages.

L'acte est complètement ratifié le:

17 août 1322

par:

Arnaud de Nogaret

"notaire du royaume".

 

 

L'espace de la nouvelle bastide.

 

Lorsque le paréage se conclut,le village

se présente comme un bloc de petites

bâtisses,ramassées en demi-cercle au

sud-ouest du couvent.

Le couvent

 

Si l'église paroissiale "d'alors"

notre dame était bien située sur

la terrasse du "prieuré"

Le prieure min

elle dominait ce petit bourg.

 

 

 

Le cimetière

utilisé était celui qui se presse

 4 cap cimetiere copie min 1
?contre le couvent.

La porte du couvent

 

L'espace de "la nouvelle"bastide couvre

240 arpents,le bloc du "village primitif"

est pris dans le nouvel enclos.

S'y ajoutent 40 arpents que la prieure

propose au midi pour de nouveaux 

colons.

Cet espace comportait surtout des

gazailles avec pacages,jardins et vignes.

Le plan cadastral de 1830 permet de définir

l'espace de la bastide.

Plan de la bastide
Le couvent en est isolé.

 

Le prieuré

Le prieure cote route 1

 

Le château Comminges-Bruniquel.

55

 

Le château de Gestes.

Pf 1564353184

et le village "primitif" y sont contenus.

Rue du couvent

Contrairement à Grenade en Hte-Garonne

la bastide de Longages

"TROP TARDIVE FUT EN GRANDE

PARTIE UN ÉCHEC"

 

A la suite de la mort du roi la crise

reprend autour de Rieux.

 

En 1606:

Les foires se sont perdues

 

vers 1715:

une période de reprise

il y en aura QUATRE.

 

En 1743:

Seule celle de la Sainte-André

(foire au cochon)sera conservée.

 

En 1612:

La situation de Longages cette

année là n'est pas brillante.

Les habitants du lieu sont très

misérables,paient toutes les charges et

ne possèdent pas un huitième de la terre.

 

 

Emphytéoses de la bastide

en 1720:

 

Grâce au "registre des censives"

présenté par les consuls de Longages

nous avons une vue sur le bourg.

 

Les 135 Ha de la bastide étaient

répartis entre 111 personnes.

 

Parmi celles-ci trois nobles.

Les Comminges-Bruniquel

les de Gestes

les de Cinovis.

deux bourgeois

Lacroix,Dulac.

 

Neufs notables,vingt quatre artisans

sept laboureurs vivant dans leur

"borde" située hors de la bastide

un curé (Descadeillas)

cinquante brassiers.

"Cela fait près de quatre cent vingt personnes"

possédant dans la bastide,il faut ajouter environ

soixante dix familles en dehors de la bastide qui

s'ajoute et qui forment le corps des paysans.

 

Le nombre de pauvres et de domestiques

est difficile à estimer.

 

La bastide contenait au moins

cent habitants les deux châteaux.

 

Les bâtiments communaux

 

Batiments municipaux

A gauche:

La halle ancienne,la maison des consuls 1775

plus tard la maison presbytérale actuellement

le bureau de la poste.

A droite:

Rue des marchands première

maison presbytérale

"actuellement une boulangerie"

l'église Saint-André.

St andre avant la renovation copie min 1

La moitié consistait en de très

petites demeures

"habitées par les brassiers"

vingt quatre échoppes et des ateliers

dans la grand-rue seulement une

vingtaine de maisons bourgeoises.

 

Les artisans:

 

neuf ateliers dont trois tailleurs

(Espaignol,Cassaine,Dutech)

 

autant de cordonniers

(Laffitte,Projean,Barbet)

 

trois tisserands

(Icart,Delhom,Laffont)

 

un boulanger (Rigail)

 

un presseur d'huile (Espaignol)

 

un boucher (Lahille)

 

deux charpentiers (Lachaume,Espagnol)

 

un maçon (Lachaume)

 

un menuisier (Albaret).

 

La tuilerie du haut était affermée.

Reule était un des deux forgerons.

Pérès et Ducros étaient jardiniers.

 

En dehors de la bastide

il y avait deux moulins.


Moulin d en haut          Loonapix 15641446112317753137

 

Soixante quinze habitations

dont vingt trois métairies

trente deux bordes,réparties en 

Quatre hameaux.

 

Castex   Hibaleau

Tourne min  Campariol

 

Les Delhom avaient leur "fief"à Castex.

 

Les laboureurs connus en 1720.

Les Pech.

Daressy.

Latou.

Girousse.

Berdoues.

Lachaume.

 

Les consuls de Longages.

Grand rue a gauche la maison des consuls du lieu 1775

Grand-rue à gauche l'ancienne maison

des consuls "construite en 1775"

devenue par la suite la maison presbytérale

et actuellement le bureau de la poste.

D'après les coutumes,les consuls en entrant

en charge doivent prêter serment de fidélité

 à leurs devoirs,recevoir celui du bayle.

Leur nomination se faisait tous les ans

le lendemain de noël.

 

A défaut d'élection au temps fixé

le roi et la prieure nommaient sur

une liste les candidats.

 

Les consuls avaient à charge de réparer

les chemins et de punir,avec le concours

du bayle,les infractions aux règlements

de police.

 

La charte leur accordait la connaissance 

de la justice politique et criminelle

par concours avec le juge du prieuré.

Ils étaient six,dont trois choisis par la

prieure le dimanche après la fête de

tous les saints.

Un bayle et un secrétaire commun

sont institués,ainsi que les valets

et le crieur public.

Les consuls en exercice,revêtus de leurs

livrées consulaires

"une robe mi-partie rouge et noire avec chaperon"

Ces livrées consulaires étaient la

propriété de la commune

"Qui s'imposait d'en faire l'achat".

 

Les consuls se rendaient à l'église avec

les électeurs pour assister à la messe.

Halle 1

A l'issue de l'office il y avait les

élections à la maison commune.

 

C'est avec ce riche costume qu'ils

assistaient aux cérémonies de l'église

sur un banc spécial.

Pf 1564352013

 

Situé,près du chœur qu'ils recevaient

à la porte de l'église les évêques

de Rieux lors de leur arrivée,qu'ils

 prenaient part aux bénédictions

des cierges des rameaux

aux processions publiques.

 

En 1526:

Loonapix 15641417363030022235

François 1er 

Accorde au consulat des 

privilèges qui seront confirmés

en 1565. 

 

Quelques consuls de Longages

 

En 1632:

Arnaud de Lianis.

Jean de Campramond.

Jean de Perpignan.

 

En 1704:

Dominique Bajon (conseiller du roi)

Pierre Dumons.

François Miegemolle.

 

 En 1710:

Arnaud Latou (premier consul)

 

En 1713:

Jean Dambielle.

Guillaume Idrac.

 

En 1720:

Jean Dumons.

Pierre Cazedebat.

Jean Delhom.

Lafont.

Charles Dulac.

Bajon (bourgeois) consul et syndic.

 

En 1786:

Jacques Camin.

Jean Latou.

Louis Méric.

Louis Delhom.

Jean Lambic "procureur".

 

 

Les juges de Longages.

 

En 1726:

François Picolle (de Carbonne)

 

En 1782:

Jean Antoine Cavailhès de Pomarède.

 

 

1606 trois "notables".

 

Les Icard.

Les Serp.

Les Perpignan.

"Le nom d'origine de ces derniers les

présente comme des juifs convertis"

nombreux en ces temps-là en vallée

de Garonne.

 

 

Les riches familles de Longages.

 

 

Gélès: une riche famille du XVIIIe

Lacroix Jean Bourgeois: en 1669

épouse Trémoulet Marguerite

du Bois de la Pierre.

Pf 1564352482
 

Leurs biens seront partagés entre

leurs deux filles.

Arnaude:épouse de Bajon Marc

Béatrice:épouse d'Abadie Jean "notaire".

 

Gounin Pierre "bourgeois" seconde fortune

en 1793,propriétaire du château de la Linde.

 

Pf 1564352738

 

Les nobles de Longages.

 

Le recensement de 1720 réalisé sur:

la"bastide"nous donne"l'occupation"

de cette dernière,trois nobles.

 

Les Comminges,de Gestes,de Cinovis.

 

Le noble Pierre de Cinovis "escuyer du roy"

seigneur de la bastide de Beaufort.

De Cinovis vivait au centre du village

"grand-rue"  près de la halle.

 

Les Comminges - Bruniquel.

Chateau comminges

 

Notes:

 

Communiquées en 1994 par:

Madame Lucette Fort épouse

du docteur Séverin Fort "propriétaire".

 

Longages Saint-André:

Sous l'empire chrétien était situé

sur la voie romaine de

Toulouse à Marthes-Tolosane.

 

       La commune aurait conservé de        nombreuses archives qui furent         maladroitement brûlées il y a un              demi-siècle environ.

 

Quelques documents se trouvant au château

n'ont pas été détruits,ils sont incomplets

mais permettent de fixer quelques 

dates à partir de 1260.

 

1994:

Longages journée du patrimoine.

Patrimoine 1994 min 1

 

La façade classée monument historique en 1984.

 

Patrimoine 1994 mme lucette fort min

Lucette Fort "propriétaire"

faisant visiter le parc

 

Mme fort 2 copie min
 

1260:

Acte de fondation d'un "obit" fait par

Berrnard V de Comminges.

Pour les terres situées dans le paréage

en faveur des dames religieuses de l'ordre

de Fontevrault de Longages avec le Roy de France.

 

1299:

Acte d'échange des terres entre Bernard de

Comminges et Arnaud de Noé qui mentionne

"l'existence d'un donus longagien".

 

1375:

Un testament du conte Pierre de Comminges.

Le château de construction bien plus ancienne

y est signalé dans la situation et son architecture

actuelle entre les dates de 1632 et 1735.

Divers documents de reconnaissance et de

litige existent entre les comtes de Comminges

et les dames religieuses.

 

Lors de la rénovation du perron

Le chateau ste marie min

le docteur Fort,et les maçons "découvrirent "

les vestiges de briques formant un arrondi,ils

en conclurent que cela pouvait être les restes

d'une petite tour datant du moyen âge.

 

1720:

Reconnaissance détaillée du château,

des dépendances,des métairies du domaine

sur les trois communes.

Longages.

Le Bois-de-la-Pierre.

Carbonne.

"Documents archivés"

 

Emphytéose:

Des dames religieuses seigneuresses de Longages.

Un château à quatre tours.

 

Chateau

 

1722: 

19 juillet

 

Le domaine est vendu à François Abolin.

"apothicaire du roy d'Espagne"

 

Vente abolin 1722 min
 

Quittance du 30 juillet 1732 min

Quittance des religieuses de Longages pour le droit

de lods des biens acquis par monsieur de Bruniquel

pour monsieur Abolin.

 

En 1743:

Son neveu

"apothicaire du roy de Naples"

en hérite.

 

 

Fin du XVlll-XlV

 

Né à Lèzat en 1753:

de Sainte-Marie Jean Eparche.

Capitaine de cavalerie,ancien maréchal

des logis des gardes du corps du roi.

Devient acquéreur du château.

 

Jean eparche de saintemarie min

Durant un siècle il s'appellera

le château de Sainte-Marie.

Il épouse:

demoiselle de Falguière Jane Marie Cécile

née en 1759.

 

Leurs trois enfants.

 

En 1784:

Jean,Eparche,Claire.

 

En 1785:

Jean-Marie Joseph.

 

En 1788:

Jean-François Honoré Frédéric.

En 1824 Jean-François Frédéric recevra en dot

sur les terres de la Tourette un pavillon de chasse.

Lors de son mariage avec Gounin Marie-Désiré

fille du propriétaire du château de la Linde.

La linde min 1

 

 

Vers 1830:

de Sainte-Marie

Jean-François Frédéric

fit construire le château

La Tourette.

La tourette min

Les travaux vont durer cinq années.

de Sainte-Marie Jean-François

a été maire de Longages de

1850-1854.

 

Le château Sainte-Marie en 1884.

Images 1 min 1

deviendra le château Fort du nom de son

acquéreur:Le docteur Jean-François Fort.

 

En 2001:

Sa petite fille Elisabeth Fort le vendra à

un anglais Peter Hurn.

 

En 2011:

Il est mis en adjudication publique,le château

Fort a trouvé acquéreur lors de la vente aux 

enchères en la personne de Monsieur

Dieudonné Duriez-Costes.

 

2011-2012:

Le château change de nom.

Le nouveau propriétaire:

Dieudonné Duriez-Costes a trouvé des traces

des Comtes du Comminges rappelant le

rattachement de Longages aux Comminges.

 

Et en particulier sur le seuil intérieur de la

tour sud-ouest et sur la terrasse sud où

figurent les armes des comtes du Comminges

ainsi que deux "ostensoirs" sculptés sur les

balustrades "rappelant"

les racines religieuses de Longages.

 

 

Les chapiteaux du château.

 

Les sept chapiteaux existants proviennent

de l'Abbaye de Saint-Savin-en-Lavedan

(Hts Pyrénées)

Images 1 min 1

 

Monsieur Séverin Fort acheta vers 1960

les ruines de l'Abbaye  et récupéra ainsi

quelques chapiteaux "dont 1/3 démoli"

remontés tant bien que mal dans

l'escalier en pierre du château.

Trois autres Chapiteaux du Xlsiècle

sont le cloître.

Tournay abbaye nd le cloitre cpa min

des bénédictins de Tournay.

 

 

Les deux autres chapiteaux surmontant

les colonnes de marbre d'un portail

Entree cote la pradiole du chateau de st marie min

fermé par une simple grille mais maintenu

par deux élégantes colonnes portant

datation du XVlsiècle.

 

Porte d'entrée de la pradiole

"la vierge"

 

proviennent problablement de la

salle capitulaire du monastère

(le couvent).

                                                       Rue du couvent 1    

Le couvent 1

dès le Xllsiècle de l'abbaye des dames

de Fontevraut de Longages.

 

Sur l'une des colonnes on peut lire la date de

1585 (règne d'Henri lll).

 

 

Le portail défensif.

Entree chateau de ste marie min

Portail monumental en brique et pierre

calcaire formant un "damier" ayant une

fonction à la fois défensive et ornementale.

D'aspect imposant,la construction est en

réalité creuse pour permettre aux défenseurs

de se glisser à l'intérieur.

On distingue sur les côtés les deux trous

par lesquels les munitions étaient projetées.

Classé aux monuments historiques en 1989.

 

Dans le parc une singulière orangerie:

Orangerie min

Brique crue brique foraine et galet.

 

Percée d'ouvertures d'inspiration

gothique et oculus quadrilobés.

 

L'orangerie appartient au style troubadour.

 

Construite par Jean-François Fort

servant de serre l'hiver pour les

citronniers et les orangers du château

plus tard transformée en maison

d'habitation par Séverin Fort pour

y héberger son frère Jean.

 

Le capdebat min

1914:

Le Capdébat

(à droite de l'orangerie)

 

 

Les de Gestes.

Chateau de gestes

 

Chateau des de gestes

 

Comme le château de Sainte-Marie le

château des de Gestes s'est élevé au XVIe

 sur un ensemble de lot de la bastide.

 

Ce nom de Gestes est il local ou allogène?

 

Qui fût le premier de Gestes

Lavernose ou Longages?

 

Quoiqu'il en soit les "Gestes"

apparaissent dans l'histoire avec:

Jean Durand de Gestes (un roturier anobli)

qui en 1499 est seigneur du Floran

(très certainement en Astarac) et de Lavernose.

 

Le capitoul Jean de Gestes,est il un descendant?

Né en 1629/1682 de Gestes Jean

"escuyer" du roy.

Mariage jean de gestes min

1677:

épouse à Longages à 48 ans de Géru Isabeau

25 ans de Castillon en Couseran.

 

1679/1743:

né à Longages leur fils de Gestes Pierre.

 

Extrait du registre notaire et paraphé concernant

les "censives"dues aux dames religieuses

seigneuresses du lieu de Longages.

 

Noble de Gestes Pierre habitant du lieu

lequel de son plein gré,pour lui et les

siens a reconnu tenir du roy et des

dames religieuses du lieu en présence,

du procureur du roy,de moi notaire pour sa

majesté du Sieur Bricet syndic des dames

religieuses et leur procureur "fondé"pour elles.

 

Acceptant,stipulant,reconnaissant

en emphytéote prédations et

droits de lods à savoir:

Pf 1564353185

 

Un château et ses terres.

 

Sa fille de Gestes Jeanne-Françoise

née en 1711 épousera en 1742

le seigneur de Ribonnet d'Ortet Bernard

"et lui amènera en dot"

Le château local.

 

Qui malheureusement a été détruit par

un incendie.Quand ???

 

 

L'acte de paréage de Longages

l'An 1322:

 

A été dressé dans la salle neuve du roi.

Et fut conclu par le prieur

de Longaticis "Longages"

frère Stéphanus Rossi

et la prieure Bonafemina de Montealto.

 

Longaticis

 

"Au château Narbonnais"

Le mardi avant la fête de

la Saint-Barnabé (apôtre)

sous le règne du sérénissime

prince Charles IV roi de France

et de Navarre.

 

Ruines du chateau narbonnais 2

Ruines du château Narbonnais.

Vestiges du château-médiéval

des comtes de Toulouse

construit entre 1155-1175

sur l'initiative de Raymond V

comte de Toulouse.

Le château fût bâti le long

de l'enceinte romaine.

 

Dscn7870 min 1

Construit à l'emplacement

l'actuel "Palais de justice".

 

Hugues de Bournazel:

Conseiller et chambellan ordinaire du roi

sénéchal de Toulouse et Albi de 1461-1469.

Attesta l'exactitude de:

la transcription et la lisibilité du parchemin.

 

Les clercs signalèrent que:

quelques mots seulement

avaient échappé à la lecture.

Car des fragments de peau étaient tombés

en lambeaux en raison de leur grand âge.

 

Acte min

  • 2 votes. Moyenne 5 sur 5.

Commentaires

  • TEJEDOR
    • 1. TEJEDOR Le 18/09/2020
    Bonjour,
    Encore bravo pour votre travail très intéressant et titanesque.
    J'ai tout lu..
    A bientôt

    Didier

Ajouter un commentaire